Appel d’offres
Dans le monde des affaires, le terme « appel d’offres » est utilisé pour désigner une invitation ou un appel d’offres lancé par un gouvernement ou une organisation en vue de la fourniture de biens ou de services. Essentiellement, un appel d’offres est un document formel qui décrit les exigences d’un projet ou d’un contrat particulier et invite les fournisseurs ou entrepreneurs potentiels à soumettre une proposition ou une offre pour répondre à ces exigences.
Lorsqu’il répond à un appel d’offres, le fournisseur ou l’entrepreneur fournit généralement des informations détaillées sur la manière dont il mènera à bien le projet ou le contrat, y compris un calendrier proposé, des estimations de coûts et d’autres détails pertinents. L’entité qui émet l’appel d’offres évalue ensuite les réponses sur la base de divers critères, notamment le prix, la qualité et l’adéquation, et choisit finalement un fournisseur ou un entrepreneur pour réaliser le projet ou le contrat.
L’appel d’offres est un processus concurrentiel qui vise à garantir que l’entité qui lance l’appel d’offres obtient le meilleur rapport qualité-prix possible. Il permet également aux fournisseurs et aux entrepreneurs d’entrer en concurrence et d’obtenir de nouveaux contrats ou projets.
Quels sont les différents types d’appels d’offres en Inde ?
L’Inde dispose aujourd’hui d’une procédure d’appel d’offres électronique bien structurée qui garantit que le travail à effectuer pour le gouvernement ou un client particulier est réalisé de manière raisonnable et efficace. C’est pourquoi la plupart des institutions ont un marché public spécifique qui se déroule selon un processus bien défini et des politiques fixes qui les guident dans leur prise de décision et dans le choix de l’offre à accepter. Ce processus implique l’ouverture, l’évaluation et la sélection minutieuses des fournisseurs, de manière équitable et transparente.
En Inde, il existe différents types d’appels d’offres, tels que les appels d’offres ouverts, les appels d’offres sélectifs, les appels d’offres en série, les appels d’offres négociés et les appels d’offres à terme. Pour comprendre la signification de chacun de ces appels d’offres, examinons-les un par un.
Appel d’offres ouvert Les secteurs privé et public acceptent la procédure d’appel d’offres ouvert, qui est une procédure d’appel d’offres principale. Il s’agit de la principale forme d’appel d’offres dans laquelle le client publie l’appel d’offres ouvertement dans un journal ou sur une plateforme d’appel d’offres électronique, en y joignant des informations importantes sur les travaux proposés, afin d’inviter les entrepreneurs et fournisseurs intéressés.
Appel d’offres sélectif L’appel d’offres sélectif a été développé comme une alternative à la procédure d’appel d’offres ouverte afin de pallier les limites de cette dernière. L’objectif de cet appel d’offres est d’améliorer la qualité des offres reçues tout en veillant à ce que les entrepreneurs disposant de l’expertise requise aient la possibilité de soumettre les offres nécessaires dans les délais impartis.
Comment fonctionne une offre publique d’achat ?
Une offre publique d’achat se produit souvent lorsqu’un investisseur propose d’acheter des actions à tous les actionnaires d’une société cotée en bourse pour un certain prix et à un moment donné. L’investisseur propose normalement un prix par action plus élevé que le cours de l’action de la société, ce qui incite davantage les actionnaires à vendre leurs actions.
La plupart des offres publiques d’achat sont faites à un prix déterminé qui représente une prime importante par rapport au cours actuel de l’action. Une offre publique d’achat peut, par exemple, être faite pour acheter les actions en circulation au prix de 18 dollars par action, alors que le prix actuel du marché n’est que de 15 dollars par action. La raison de cette prime est d’inciter un grand nombre d’actionnaires à vendre leurs actions. Dans le cas d’une tentative de rachat, l’offre peut être subordonnée à la condition que l’acheteur potentiel soit en mesure d’obtenir un certain nombre d’actions, par exemple un nombre suffisant d’actions pour constituer une participation de contrôle dans l’entreprise.