Qu’est-ce que le « blanchiment de capitaux » ?
Le blanchiment de capitaux
Le blanchiment d’argent désigne le processus consistant à dissimuler l’origine de l’argent obtenu illégalement en le déguisant en fonds légitimes. Pour ce faire, les fonds sont généralement acheminés par le biais d’un réseau complexe de transactions afin qu’il soit difficile de remonter jusqu’à la source illégale de l’argent. Le blanchiment d’argent est souvent associé à des activités criminelles telles que le trafic de drogue, la corruption et le terrorisme, et vise à rendre difficile la saisie et la confiscation des avoirs illégaux par les services répressifs. Il s’agit d’un délit grave, puni par la loi dans de nombreux pays du monde, et des efforts sont continuellement déployés au niveau national et international pour le combattre.
Qu’est-ce que le blanchiment de capitaux ?
Le blanchiment d’argent est le processus qui consiste à dissimuler la source de l’argent obtenu à partir de sources illégales et à le convertir en une source propre, évitant ainsi les poursuites, la condamnation et la confiscation des fonds d’origine criminelle. Il s’agit d’un exercice illégal qui transforme l’argent noir en argent blanc.
Comment fonctionne le blanchiment d’argent ?
Le blanchiment d’argent est essentiel pour les organisations criminelles qui souhaitent utiliser efficacement l’argent obtenu illégalement. Traiter de grandes quantités d’argent illégal est inefficace et dangereux. Les criminels ont besoin d’un moyen pour déposer l’argent dans des institutions financières légitimes, mais ils ne peuvent le faire que si l’argent semble provenir de sources légitimes.
Variantes du blanchiment d’argent
Une forme courante de blanchiment d’argent est appelée « schtroumpfage » (ou « structuration »). Il s’agit pour le criminel de diviser de grosses sommes d’argent en plusieurs petits dépôts, souvent répartis sur plusieurs comptes différents, afin d’éviter d’être détecté. Le blanchiment d’argent peut également être réalisé par l’utilisation de bureaux de change, de virements électroniques et de « mules » – des passeurs de fonds qui font passer furtivement de grandes quantités d’argent liquide à travers les frontières et les déposent sur des comptes à l’étranger, où l’application des lois sur le blanchiment d’argent est moins stricte.